L’Odyssée d’Homère, dans la traduction de Philippe Brunet, en hexamètres dactyliques français, vient de paraître. Des amis me demandent ce qu’est cet hexamètre, dont je leur dis qu’il n’est pas fait pour être lu en silence, mais de leur voix vive, et même de leur mémoire vive. Philippe Brunet l’explique fort bien dans son livre – je ne sais plus s’il le fait dans sa préface ou dans sa postface, mais il le fait. Je me permettrai cependant ici d’expliquer à ma façon cette affaire. Voici donc une première hexamétrique leçon.
[à suivre]
Deux hexamètres à revoir. Avec le mot bizarrE et le suivant. Macte animo !
C’est fait ! Mais le second me semble passable et spondaïque la fois.