Pour terminer notre analyse de la structure du roman, voici celle du dernier épisode, qui en constitue en quelque sorte la clé de voûte, au fond très paulinienne : là où il y aura beaucoup de péché, il y aura beaucoup de grâce…
P.S. Le tableau ci-dessus a été peint par Pascal Dagnan-Bouveret en 1878, qui le sous-titra des mots de Prévost : Je formai la résolution de l’enterrer et d’attendre la mort sur sa fosse… Il ne m’était pas difficile d’ouvrir la terre dans lieu où je me trouvais : c’était une campagne couverte de sable. Je rompis mon épée pour m’en servir à creuser, mais j’en tirais moins de secours que mes mains.